ARTISTES DU FESTIVAL
10 jours de musique, rire, culture & patrimoine
LES PETITS FILS DE JEANINE
Festif
Le samedi 17 septembre dès 20h - Salle des fêtes Emmanuel Looten
LES PETITS FILS DE JEANINE
(Artistes Français)
Au commencement, il y a eu l’oeuf…puis Jeanine et ses rejetons.
Il y a 13 ans, mémé mettait ses gamins au turbin dans la rue, qui formèrent les Groupe Sans Gain(s) pour ramener des sous à mémé. De vers en verres ils créèrent les P’tits Fils de Jeanine 1.0 en l’an de grâce 2010
De verres en tonneaux ils créèrent les P’tits Fils de Jeanine 2.0, version complétée par Couzcouz, leader charismatique de La Vaguabonde, un mec vraiment engagé, lui. Un vent nouveau souffle sur le groupe puisqu’ils savent dorénavant, en plus de chanter, dire sur quels accords ils jouent… Bref l’âge de la maturation est arrivée.
A travers leurs texte réalistes, drôles et engagées, ils chantent leur quotidien, leurs espoirs et leurs doutes sur les plus belles scènes de France et de Navarre (le reste du monde quoi).
Les voix se mêlent et se répondent, l’improvisation et le théâtre sont toujours présents; à l’intensité de l’accordéon s’ajoute la frénésie de la trompette, les harmonies de la guitare sur le rythme endiablé de la batterie.
Multi-instrumentistes facétieux, moqueurs, un peu effrontés et légèrement indisciplinés, les P’tits Fils de Jeanine n’ont qu’une prétention : jouer leur concert avec vous !
Petits et grands, punks et fonctionnaires, nourrissons et grands mères, tous aiment vibrer au rythme de mémé !
Avis du programmateur du Grand Tintouin :
Un groupe de chansons festives qui sont en tournée de passage pour leur 20 e anniversaire. Des instruments variés et vraiment de belles chansons. Participation du public.
OUBERET
Musique Celtique
Le samedi 17 septembre dès 20h - Salle des fêtes Emmanuel Looten
OUBERET
(Artistes Français de la région Auvergnate)
Plus d’instruments que le Dj de Manau, Oubéret propose un spectacle unique en son genre mêlant Musiques Celtiques et humour.
Rythme endiablé des chants de marin, et s’est laissé guider dans un voyage musical celtique au cours duquel Oubéret a alterné compositions personnelles et airs traditionnels.
C’est dans un contexte bien particulier que sort le sixième album des Auvergnats d’Oubéret. Jörðin (« Terre » en islandais) fait directement suite au troisième EP de trois titres Y a rien qui gêne paru en 2018, sur lequel on pouvait retrouver les deux nouveaux membres du groupe que sont Thomas « Le Fripier » à la basse et Jean-Michel « L’Alchimiste » à la guitare, au bouzouki et à la mandoline. Vous le verrez à l’écoute du nouvel album, le titre de l’EP renvoie à des paroles de l’excellent et entêtant morceau « Ma taverne ».
Excepté l’arrivée récente de Thomas et de Jean-Michel, le line-up du groupe reste inchangé. En plus de ces derniers, Sylvain « Le GPS » (accordéon chromatique) et Nicolas « Le Pirate » (batterie/bodhran) secondent le chanteur, flûtiste et sonneur Jocelyn « Le Roi » aux chœurs.
Jörðin marque un tournant dans la carrière du quintet, avec une tournée en préparation, et surtout une nouvelle mentalité musicale. Oubéret se définissait déjà comme « groupe celtique festif à danser », mais va encore plus loin en proposant une « musique décomplexée », laissant libre cours à ses envies.
Dans son cinquième album But Alors, You Are Celte ?, Oubéret explorait déjà un large panel d’influences musicales, de la musique folk celtique à la pop, en passant par le rock/metal. Avec Jörðin, cette dernière influence est résolument plus marquée, rappelant parfois des groupes comme Boisson Divine, ce qui n’est pas pour nous déplaire ! Grâce aux instruments traditionnels, les douze morceaux qui composent l’album (majoritairement chantés, et en français s’il vous plaît!), d’une durée moyenne de trois-quatre minutes, sont très variés. Par exemple, tandis que l’instrumental festif « Andro trop fait » est basé sur le rythme de la célèbre danse vannetaise, « Larrode Trip », dont le titre fait référence à une commune du Puy-de-Dôme, s’inscrit dans la pure tradition auvergnate et est mené par l’accordéon. Quant au morceau instrumental « Jigateuf Excellent », celui-ci est, comme son titre le suggère, une sympathique gigue irlandaise menée par le whistle, le bouzouki et l’accordéon.
Si l’album est très varié d’un point de vue musical, un facteur commun est à relever : l’humour ! A l’image d’un whistle léger, Oubéret chante avec une certaine désinvolture, quel que soit le thème abordé. Le groupe ne délaisse pas son énergie débordante et sa bonne humeur communicative à travers des morceaux presque tous aussi festifs les uns que les autres (à l’exception de l’instrumental « Dark Mi Maul » et du morceau musette « La Dérive des incontinents », à l’ambiance plus nostalgique, voire mélancolique). Par exemple, le morceau folk rock « Lève ta main », mené par le whistle, est très interactif, on s’imagine aisément participer lors des prochains concerts du groupe. Comme évoqué plus haut, j’apprécie tout particulièrement la chanson « Ma taverne » pour l’ambiance conviviale qu’elle transmet, ainsi que le morceau folk metal « Pierre, feuille, schizo », parfait pour, passez-moi l’expression, se foutre sur la gueule ! Pour finir, Oubéret laisse son côté engagé s’exprimer davantage, notamment dans « Terre ! », morceau sur le thème de la préservation de la planète, et livre des petites morales, comme dans « Ma source de vie » qui véhicule l’importance de se contenter des choses simples de la vie.
Plus efficace que la chloroquine, ce nouvel album d’Oubéret est un excellent remède à écouter sans modération, et sans effets indésirables !
Joce : Chant – Whistles – Cornemuses – Bombarde
Sylvain : Accordéon chromatique – Chant
Thomas : Guitares – Banjo – Mandoline – Chant
Maya : Basse
Nikko : Batterie – Bouzouki – Cornemuses – Chant
Avis du programmateur du Grand Tintouin :
Un groupe Celtique qui met le feu sur scène. Ça bouge car c’est très festif.
Quand on parle de musique celtique, on entend cornemuse, pub, marin, kilt, claquettes, pirate, chevaliers, lutins ou fête de village. Oubéret, c’est tout ça, et bien plus encore !
Depuis 6 ans et près de 400 concerts avec des groupes comme Tri Yann, Manau, Capercaillie, Corvus Corax, Celkilt et bien d’autres, les 6 musiciens d’Oubéret sillonnent encore et toujours les routes de France et d’Europe pour faire découvrir leur univers si singulier.
Mêlant instruments traditionnels, chants de marins, légendes, danses, énergie rock et costumes hauts en couleurs, Oubéret propose pendant plus d’1h30 de spectacle un voyage allant de l’Irlande à la Bretagne, en passant par l’Ecosse, la Galice ou les Cornouailles. Je conseille vivement ce concert.
LES BARBEAUX
Musique Festive
Le dimanche 18 septembre dès 16h30 - Salle des fêtes Emmanuel Looten
LES BARBEAUX
(Originaire de la France de la région du Languedoc Roussillon )
Musiciens enthousiastes, gouailleurs de carrière, artificiers de la scène et brocanteurs de la parole…
Les Barbeaux, c’est une énergie, un mouvement…Plus dansant qu’une guinguette, plus populaire qu’un bal, ils sont un véritable antidote à la morosité !
Une musique festive et leur identité méditerranéenne sont très bien perçues dans les pays d’Europe du Nord. Ils jouent pour des publics variés, quelquefois dans des endroits très alternatifs, comme on en a connu en France dans les années 80. Et, quelquefois, ils sont invités dans des lieux prestigieux ou des gros festivals. Ils nous ramènent du Soleil dans nos cœur.
Le groupe est né en 2003, de rencontres en rencontres dans l’arrière pays biterrois.
La première rencontre a été celle de Pascal Tenza, dit Calou, auteur, compositeur, interprète du groupe, avec Gabriel Dessaux, violoniste, qui officiaient tous les deux dans le groupe L’Art { Tatouille.
Peu après leur départ du groupe, ils participent, en collaboration avec Humani Théâtre, à diverses créations théâtrales, dont “Quartiers de Lune”, “Les Valeureux”, dans lesquelles ils contribuent à la création musicale, et officient en tant que comédiens.
Ainsi, c’est dans un vivier où se côtoient naturellement musiciens, comédiens et artistes en tous genres que Calou et Gaby créent l’identité originale d’un groupe librement inspiré du théâtre de rue.
Le groupe «Les Barbeaux Truités » apparait alors, dans le sillage des créations d’Humani Théâtre. L’équipe est alors composée de Calou, Gaby, Thierry Capozza dit “Capo” { la contrebassine et de Jérôme Petitjean en tant que comédien. Les prestations de rue ou dans les bistrots de la région se succèdent, les morceaux se rodent, et en 2005 Les Barbeaux Truités sont prêts à enregistrer un 1er album (les créations étant pour leur quasi-totalité de Pascal « Calou » Tenza).
Le 1er album : de la rue à la scène
Le groupe fait appel { Danito (“Les Croquants”), et l’enregistrement se fait dans son home studio. De nombreux invités viennent collaborer, notamment Jean Dona (“Monaliza”, “L’Art { Tatouille”) et sa basse pioche faite maison, ainsi que Romain Maraval (“Les Muriens”, “Les Sans Valises”) à la batterie. Ces derniers resteront définitivement dans le groupe, ainsi que Ludovic Criado, technicien son live, qui permettra aux Barbeaux de devenir un vrai groupe de scène.
Les concerts sont souvent truffés de surprises, avec bien sûr Jérôme Petitjean, comédien déjanté, qui bouleverse le déroulement normal des concerts grâce à des sketches et des improvisations hilarantes (Monsieur le Maire ou Gina l’Auberge resteront dans les annales).
“A la Criée” sort au cours de l’été 2005, et le public, conquis par les prestations live du groupe, s’arrache l’album { la fin des concerts. On y trouve déj{ des chansons parmi les plus populaires des Barbeaux, comme “Je Chante”, “Callejon”, “Kirikiki”.
Ce 1er opus s’est { ce jour écoulé { plus de 7000 exemplaires.
En 2006, Les Barbeaux collaborent avec différentes compagnies de théâtre de rue (Generik Vapeur, le Petit Théâtre de Pain et Humani Théâtre) pour la création de différents spectacles. Ils continuent bien sûr à tourner et participent à des événements de plus en plus importants (Festival d’Avignon, Tango Swing et Bretelles, Fête de l’Humanité…)
Rock’n’roll etc…
En 2007, un bout de chemin est déjà parcouru, et les Barbeaux ont déjà de nouveaux morceaux en stock. C’est aussi l’année où certains des membres du groupe vont revenir { leurs racines artistiques en investissant un vieux domaine à Magalas,(34), qui va devenir leur QG, car ils y seront désormais en résidence permanente, grâce à la mairie de leur village.
Cette année-l{ est aussi l’année de nouvelles rencontres, dont José Molero, tromboniste qui assurera un temps les concerts du groupe, et bien sûr avec Les Ogres de Barback, qui joueront sur l’album sur le morceau “les Saints Ecrits”.
L’enregistrement du 2nd album se fait naturellement au domaine, et c’est toujours Danito qui réalisera cet album, mais cette fois-ci, chez les Barbeaux.
D’où l’esprit de fête que l’on peut ressentir { l’écoute de ce disque avec de nombreux invités comme les Ogres de Barback, la compagnie de danse Vendaval, Camille de La Meute Rieuse, la troupe d’Humani Théâtre, Du Bartas, etc….
« No Friture » (sortie nationale le 10 nov 2008), est distribué par le label IRFAN (structure de diffusion, de production et d’édition organisée autour des Ogres de Barback), label indépendant très reconnu dans le secteur des musiques actuelles. A ce jour, plus de 6000 exemplaires ont été vendus.
De concerts en résidences : nouveaux projets, nouvelles rencontres.
En 2008/2009, alors que le « No Friture Tour » bat son plein, de festivals en belles premières parties (les Ogres de Barback, Massilia Sound System…), un nouveau projet vient titiller nos Barbeaux : aller à la rencontre des enfants au travers de la création artistique, pour leur montrer « l’envers du décor».
Les Barbeaux avaient déjà abordé ce sujet à 2 reprises dans leur parcours : une première rencontre s’était déj{ effectuée avec les enfants de l’école de Barcus (64), petit village du pays basque où le groupe était en résidence en décembre 2007, avec la complicité de Michel Etxecopar. Le temps d’un après midi, nos musiciens avaient partagé avec les enfants leurs secrets de fabrications de chansons. La seconde tentative étant l’enregistrement du jeune Esteban, 3 ans { l’époque, pour la Chanson du Kazoo sur l’album No Friture.
Ce n’est qu’avec l’arrivée en 2008 de Fanny Larraillet dans l’équipe (management, coordination, booking) que le projet Les Barbillons pourra voir le jour. Grâce à la coordination de divers acteurs locaux, écoles, associations, administrations, professeurs, etc…le groupe partira tout au long de l’année 2010 sur les routes et dans les écoles du grand Sud pour proposer aux Barbillons des fabrication de chansons, avec répétitions, enregistrements et représentations à la clé.
L’année 2010 est aussi l’arrivée de Machino dans les Barbeaux { la guitare électrique. C’est un compagnon de longue date qui a notamment joué avec Goulamas’K. Son arrivée marque la volonté du groupe de s’inscrire dans un son plus rock, influence qu’on notera dans l’album qui suivra.
60 dates par an, une équipe solide et un « Soleil » qui rayonne partout en Europe…
Fin 2010, toujours avides de nouveaux défis, les Barbeaux s’engagent dans un documentaire musical, avec le réalisateur Stéphane Valentin. Le tournage se terminera en Novembre pour une 1ère diffusion en Mars 2011, et une réelle sortie courant 2012.
A la même période, débute l’enregistrement du 3ème album « Soleil ». De nouvelles influences, des invités, des mois de travail et de création pour un album puissant et posé, fruits des voyages et des rencontres, d’une énergie et d’une envie de vivre sans pareille…. Le groupe a déjà travaillé certains morceaux depuis un an, et certains sont même joués sur scène depuis quelques temps. D’autres seront crées au domaine de Saint Jean, avec la complicité de fidèles amis comme Rodolphe Gayrard et Aitz Amilibia.
Cette fois-ci les Barbeaux sont bien décidés à prendre le temps de bien faire les choses, et l’album qui sortira au mois d’avril 2011 aura nécessité 6 mois de travail, préprods et enregistrement inclus. L’album reçoit dès ses débuts un très bon accueil, et est considéré comme le disque le plus abouti du groupe.
2011 verra également le renouveau du Festival « Dans Mon Village » qui sera désormais porté par Fanny Larraillet et la Prod°des Barbeaux. Les différentes institutions locales ainsi que les membres de l’association et fans de toujours du groupe soutiendront ce projet qui sera un véritable succès populaire (+ de 1200 personnes pour ce 1er rendez-vous !).
Le groupe se refait un line-up, avec Jano qui lâche sa basse pour la confier à Ludo, et qui lui permet de reprendre le flambeau des guitares.
De belles rencontres (arrivée d’Ophélie ou Ophélight, l’éclairagiste) et de nouvelles contrées seront au programme de la fin d’année puisque le groupe partira en tournée dans le Nord Est de la France, en Allemagne mais aussi en Espagne…
Les Barbeaux c’est une double culture assumée servie par un humour grinçant, un violon balkanique virevoltant et un accordéon enivrant. L’esprit du bal musette prend parfois des allures détonantes grâce à des textes forts où se rencontrent l’exil, le voyage, la trahison, l’amour, les gueules cassées et les promesses de comptoirs. Ceux qui ont déjà embarqué avec eux le savent, les Barbeaux, c’est une énergie, un mouvement…En 2022 il entame une nouvelle tournée et une date pour Bergues.
Avis du programmateur du Grand Tintouin :
C’est un très bon groupe Folk Rock Festif du sud de la France, aux accents idoines. Fort de plus de 15 ans de tournée et mûrit par des influences multiples. Le nombre et la diversité géographique des dates de leur tournée « Déracinés » sautent aux yeux au premier regard. Le contexte du live. Les 5 compères originaires du Languedoc-Roussillon entament une nouvelle tournée annuelle. Leur 7ème album fraichement sorti « on est vivant » sera en exclusivité à Bergues
Ils rencontrent du succès là où les préjugés culturels l’auraient condamné. Ils exercent des influences multiples, ce que le public aime.
Vraiment une ambiance Festive hors du commun ! Dans le Même Style que les Ogres de Barback.
CALIPSA
Pop / Musique Celtique
Le dimanche 18 septembre dès 16h30 - Salle des fêtes Emmanuel Looten
CALIPSA
(Artiste Française de la région parisienne)
Chanteuse-violoniste et auteur-compositeur, Calipsa mêle avec subtilité pop et musique celtique.
Après 15 ans de Conservatoire et plusieurs années au sein de l’Orchestre de la Sorbonne, ses passions pour le violon et le chant s’illustrent à travers son envie de composer, d’écrire et d’arranger ses propres chansons.
Encouragée par ses premiers festivals comme le Festival Brassens où elle obtient le prix du public et du jury en présence de Juliette Gréco ou encore le Festival de Printemps Paris Sciences et Lettres, elle participe au tremplin Vocal Tour qui lui permet d’atteindre la finale locale avec sa chanson « Evadez-moi ».
En 2016, elle se produit lors de la fête à Neuneu ou encore au parc Saint-Paul, séduisant un public très large.
René-Marc Guedj, créateur du Trempoint du Point-Virgule écrit alors : « Calipsa est une découverte étonnante. Elle chante ses propres chansons en s’accompagnant au violon ou à la flûte, mais les mélodies sont ultra-rythmées et chacune de ses chansons pourrait faire un tube !! ».
Paraît ensuite son premier EP en 2017. La promotion de « Evadez-moi », son premier EP aux accents irlandais, enregistré au Studio de la Seine, démarre à la soirée d’inauguration VIP de la Fête à Neuneu où elle interprète plusieurs de ses titres devant de nombreuses personnalités. S’enchaîne alors à grande vitesse la promotion sur les radios Espace FM, IDFM, France Bleu…, à la télé dans l’émission de Jacky sur IDF1 ou sur les scènes du théâtre Les Feux de la Rampe, la Péniche El Alamein, le Réservoir ou Le Nez Rouge où elle a été sélectionnée pour participer à une soirée avec Jean-Félix Lalanne.
Elle se produit ensuite sur les scènes de festivals comme le Festival de L’Oriolet (avec Soldat Louis, Mes Souliers sont rouges ou encore Epsylon) ou le Festival Son de Glane (en première partie des Trois Cafés Gourmands).
En 2019 elle remporte un prix au tremplin de La Batterie à Guyancourt et fait la première partie de Jenifer.
Elle participe également aux soirées caritatives de CitéStars, association présidée par David Donodei en présence de nombreuses personnalités (Michaël Jones, Popeck, Yves Lecoq…).
Sur scène, elle sera accompagnée de trois musiciens : basse, batterie, guitare. Au programme, des mélodies percutantes, avec des thèmes de violon omniprésents et un mélange original de pop et de musique celtique dans une ambiance chaleureuse et conviviale.
Son premier album a été réalisé en 2020. Celui ci sera joué à Bergues pour le festival.
Avis du programmateur du Grand Tintouin :
Calipsa est une artiste qui commence à se faire connaitre. Elle a un parcours de musicienne hors pair et elle dégage beaucoup de rythme, dans son Pop Celtique. C’est intense et surprenant. L’artiste chante ses propres chansons en s’accompagnant au violon ou à la flûte, sur des mélodies ultra-rythmées. On tape dans les mains, on est dans cette ambiance et on ne veut surtout pas que cela s’arrête.